Le marketing sportif de demain devra être « authentique » et « responsable »

Des tendances qui seront les tendances de demain. Celles qui parleront aux consommateurs et qui inciteront les marques à être plus responsables, plus solidaires... Reste que cette nouvelle direction ne pourra fonctionner que si les marques sont sincères. Fini l’opportunisme. Les temps ont changé.
L’un des enseignements que nous avons tirés de cette période compliquée, c’est que la contrainte stimule la créativité. Face à cette situation inédite, les marques ont été amenées à revoir leurs façons de communiquer, à enrichir les contenus qu’ils produisaient, à réinventer leurs événements. Celles qui ont su tirer leur épingle du jeu sont les marques qui ont fait preuve de sincérité et de simplicité. Celles qui ont montré de l’empathie et du respect. Des valeurs fondamentales en ces périodes d’inquiétude et de stress.
Erreur à ne pas commettre ? Se recroqueviller. Au contraire, il faut aller de l’avant, rester proche de ses cibles, essayer de montrer l’exemple en émettant des messages positifs et en élargissant sa vision à moyen et long terme. « Il est important de ne pas céder à l’opportunisme, car les consommateurs ne sont pas dupes, témoigne Antoine Robin, Associé fondateur chez Come#Together. Et surtout ne pas attendre un retour à la normale pour se remettre en question, récrire sa feuille de route, profiter des nouvelles perspectives qu’on subit pour en tirer les enseignements les plus constructifs. » En d’autres termes, être authentique et garder fidèlement sa ligne de conduite. Une vision partagée par Christophe Quiquandon Fondateur de l’agence Bros. « L’idéal est d’avoir été authentique, transparent et engagé avant la crise. Il est important d’éviter l’écueil de l’opportunisme. Mon conseil serait d’être authentique, engagé, et de faire preuve de créativité pour émerger dans un monde de la communication qui pourrait devenir vite uniforme du fait que tout le monde veuille cocher les mêmes cases. » Pour Christophe Quiquandon, le terrain est dorénavant miné. « Attention aux effets boomerangs. Pour ceux qui feront de grands statements ou s’érigeront en donneurs de leçons, il faudra qu’ils soient en mesure de pouvoir ouvrir leurs arrières-cuisines sereinement. Sinon, les revers de bâton seront sévères. »
L’exemple d’ASICS
Le 16 mai 2020, la marque japonaise lançait un challenge solidaire connecté, baptisé #unitedwerun. L’objectif était simple : enchaîner les kilomètres de course à pied pour la Fondation de France et la recherche contre la Covid-19. À chaque kilomètre parcouru le compteur défilait et enregistrait les scores. Objectif : atteindre 1 000 000 kilomètres. Une occasion pour chacun d’associer le plaisir de la course à pied à une action commune de solidarité. Simple, efficace, solidaire et ouvert à tous. À l’image de la marque.
« Nous n’avons pas changé de stratégie marketing, explique Arnaud Leroux, directeur Marketing d’ASICS pour l’Europe du Sud. Au contraire, la crise nous a confortés dans les principes que nous avions déjà identifiés. Favoriser la pratique sportive des Français, et notamment celle du running. Agir comme l’expert des catégories sur lesquelles nous sommes présents. Éduquer, accompagner, guider les consommateurs afin qu’ils choisissent le produit le plus adapté à leurs besoins et leurs pratiques. Et être porteur de sens, d’une vision pertinente et inspirante pour chacun. »
Pour Arnaud Leroux, « il ne faut pas être opportuniste, ne pas « profiter » de la crise pour pousser ses propres intérêts, alors que justement l’humanité entière a besoin d’une véritable solidarité ». Il poursuit : « Cette crise est extrêmement profonde, et chamboule énormément de choses. Nous avons besoin d’une perspective positive, motivante, inspirante. Nous avons besoin de valeurs fédératrices, d’une vision motivante. Il est temps de mettre en application les valeurs d’entreprise qui sont souvent placardées dans les bureaux... et véritablement les appliquer, les mettre en application. Si on ne le fait pas maintenant, alors quand ? Je pense que les consommateurs sauront voir, comprendre et suivre les marques dont les actes seront au diapason des discours. Et malheur à celles qui seront perçues comme opportunistes. »
Le marketing de demain doit être plus responsable et solidaire. L’éco-responsabilité doit être au centre des préoccupations... Nous devons TOUS être plus responsables et plus solidaires. « Mais ce n’est pas que l’enjeu du marketing, rappelle Arnaud Leroux. « C’est toute l’entreprise qui doit œuvrer pour changer les choses. Et sans tarder. Ce n’est plus une question. Plus un choix. De toute façon, les consommateurs le demandent de plus en plus. Les distributeurs aussi. Ceux qui seront réfractaires resteront sur le bord du chemin. ASICS prône l’esprit sain dans un corps sain. Désormais, il faut aussi rajouter « dans un monde sain ». Nous avons un bon nombre d’engagements d’ici 2025 et 2030, et chaque nouvelle collection intègre de plus en plus de produits avec des % de matériaux recyclés. C’est bien, mais pas encore suffisant -nous devrons perpétuellement accélérer, et ne jamais nous satisfaire des acquis. » A bon entendeur.
Alain Jouve, rédacteur en chef Sport Stratégies
7 minutes pour faire la différence
Première session de « Job Dating » pour nos AMOSciens nantais de première année qui, pour la plupart, redécouvraient, via ce concept original, leur façon d’aborder un entretien d’embauche. Ce jeudi 15 octobre 2020 a eu lieu le premier FAMES : Forum AMOS des Métiers et de l’Emploi dans le Sport. Cet événement récurrent dédié, cette fois-ci, aux étudiants de première année est toujours organisé dans les locaux d’AMOS Nantes et a pour but de faciliter les relations entre le monde de l’entreprise et nos étudiants.
Mais, très concrètement, le « Job Dating », c’est quoi ?
Très concrètement, l’école fait appel à plusieurs entreprises de la région ayant des offres de stages à pourvoir sur les périodes de décembre / janvier et mai / juin (mois correspondants aux périodes de stages des AMOSciens de 1ère année). Ces dernières sont alors conviées à l’école et vont passer une matinée à mener plusieurs mini-entretiens de 7 minutes avec les étudiants qui, en amont, ont reçu les offres à pourvoir par mail et se sont inscrits sur différents créneaux pour rencontrer les entrepreneurs.Quelles entreprises peuvent y participer ?
Pour cette session spécialement organisée pour les étudiants de 1ère année nous avons concentré nos recherches sur les entreprises ayant des besoins de stagiaires de courte durée dans le domaine de la grande distribution car c’est la thématique du stage du 1er semestre. Cependant certaines entreprises sont également venues pour anticiper le recrutement d’un stagiaire au 2ème semestre sur la thématique communication / événementiel. Ainsi, nous avons eu le plaisir d’accueillir GO Sport, 360 Expert Outdoor, Sobhi Sport, Nantes Rezé Métropole Volley, Nantes Métropole Futsal, Lacoste, Ouesport et Lardesport que nous remercions chaleureusement.La COVID a-t-elle eu un impact sur cet évènement ?
Le but des écoles AMOS est d’essayer perpétuellement de se réinventer pour répondre aux attentes des étudiants. Aussi, les restrictions liées à la COVID ont permis de mener une réflexion afin que l’événement soit assuré coûte que coûte. Pour la première fois, nous avons donc procédé à des entretiens en visio avec les entrepreneurs qui ne souhaitaient pas se déplacer en ces temps incertains. Un exercice d’autant plus apprécié par nos étudiants qu’il colle avec les méthodes de recrutement actuelles sur le marché du sport.Cet évènement a pour seul but de trouver des stages aux AMOSciens ?
Pas uniquement ! Cet événement vient aussi en complément des heures de cours de professionnalisation qui préparent nos AMOSciens à affronter le monde professionnel. La plupart de nos étudiants avait d’ailleurs déjà trouvé leur stage avant de participer aux FAMES et se sont donc présentés à l’événement avec pour objectif premier de s’entrainer et de s’améliorer à l’exercice peu évident de l’entretien d’embauche. Toute l’équipe pédagogique de l’école a mis en place un système d’évaluation précis par les entrepreneurs afin que l’étudiant puisse avoir un retour personnalisé sur ses points forts et ses points faibles.
Y aura-t-il d’autres FAMES dans l’année ?
Absolument ! Si vous êtes entrepreneur ne manquez pas la date du 05 novembre 2020. Nous organisons une session pour tous nos étudiants de 3ème et 4ème année en recherche de stages longs, stages alternés ou alternance. Contactez Elliot TEKPOR, chargé de développement du campus AMOS Nantes, pour en savoir plus : etekpor@amos-nantes.fr. La professionnalisation étant au cœur du projet pédagogique des écoles AMOS, nous menons à minima deux FAMES par année scolaire, trois sur le campus nantais cette année.Article rédigé par Candice Lachal, chargée de communication AMOS Nantes.
7 minutes pour faire la différence
Première session de « Job Dating » pour nos AMOSciens nantais de première année qui, pour la plupart, redécouvraient, via ce concept original, leur façon d’aborder un entretien d’embauche. Ce jeudi 15 octobre 2020 a eu lieu le premier FAMES : Forum AMOS des Métiers et de l’Emploi dans le Sport. Cet événement récurrent dédié, cette fois-ci, aux étudiants de première année est toujours organisé dans les locaux d’AMOS Nantes et a pour but de faciliter les relations entre le monde de l’entreprise et nos étudiants.
Mais, très concrètement, le « Job Dating », c’est quoi ?
Très concrètement, l’école fait appel à plusieurs entreprises de la région ayant des offres de stages à pourvoir sur les périodes de décembre / janvier et mai / juin (mois correspondants aux périodes de stages des AMOSciens de 1ère année). Ces dernières sont alors conviées à l’école et vont passer une matinée à mener plusieurs mini-entretiens de 7 minutes avec les étudiants qui, en amont, ont reçu les offres à pourvoir par mail et se sont inscrits sur différents créneaux pour rencontrer les entrepreneurs.Quelles entreprises peuvent y participer ?
Pour cette session spécialement organisée pour les étudiants de 1ère année nous avons concentré nos recherches sur les entreprises ayant des besoins de stagiaires de courte durée dans le domaine de la grande distribution car c’est la thématique du stage du 1er semestre. Cependant certaines entreprises sont également venues pour anticiper le recrutement d’un stagiaire au 2ème semestre sur la thématique communication / événementiel. Ainsi, nous avons eu le plaisir d’accueillir GO Sport, 360 Expert Outdoor, Sobhi Sport, Nantes Rezé Métropole Volley, Nantes Métropole Futsal, Lacoste, Ouesport et Lardesport que nous remercions chaleureusement.La COVID a-t-elle eu un impact sur cet évènement ?
Le but des écoles AMOS est d’essayer perpétuellement de se réinventer pour répondre aux attentes des étudiants. Aussi, les restrictions liées à la COVID ont permis de mener une réflexion afin que l’événement soit assuré coûte que coûte. Pour la première fois, nous avons donc procédé à des entretiens en visio avec les entrepreneurs qui ne souhaitaient pas se déplacer en ces temps incertains. Un exercice d’autant plus apprécié par nos étudiants qu’il colle avec les méthodes de recrutement actuelles sur le marché du sport.Cet évènement a pour seul but de trouver des stages aux AMOSciens ?
Pas uniquement ! Cet événement vient aussi en complément des heures de cours de professionnalisation qui préparent nos AMOSciens à affronter le monde professionnel. La plupart de nos étudiants avait d’ailleurs déjà trouvé leur stage avant de participer aux FAMES et se sont donc présentés à l’événement avec pour objectif premier de s’entrainer et de s’améliorer à l’exercice peu évident de l’entretien d’embauche. Toute l’équipe pédagogique de l’école a mis en place un système d’évaluation précis par les entrepreneurs afin que l’étudiant puisse avoir un retour personnalisé sur ses points forts et ses points faibles.
Y aura-t-il d’autres FAMES dans l’année ?
Absolument ! Si vous êtes entrepreneur ne manquez pas la date du 05 novembre 2020. Nous organisons une session pour tous nos étudiants de 3ème et 4ème année en recherche de stages longs, stages alternés ou alternance. Contactez Elliot TEKPOR, chargé de développement du campus AMOS Nantes, pour en savoir plus : etekpor@amos-nantes.fr. La professionnalisation étant au cœur du projet pédagogique des écoles AMOS, nous menons à minima deux FAMES par année scolaire, trois sur le campus nantais cette année.Article rédigé par Candice Lachal, chargée de communication AMOS Nantes.
AMOS Rennes : 1ère Masterclass sur l’entreprenariat dans le sport à Upper Avenue Trampoline Park
Le 7 Octobre dernier, nos AMOSciens rennais se sont rendus à Upper Avenue-Trampoline Park, situé à Vern-sur-Seiche, pour une Masterclass sur l’entrepreunariat dans le sport. Le fondateur de cette structure, Jean-Luc THOMAS nous a fait le plaisir d’ouvrir ses portes pour la matinée. Au programme, une conférence animée par Eric ALARD, directeur d’AMOS Rennes, suivi d’une session trampoline.
Tout d’abord, qu’est que « Upper Avenue Trampoline Park » ?
Jean-Luc THOMAS, entrepreneur rennais, a ouvert son Trampoline Park en août 2019. A l’origine de ce projet, un homme avec la fibre entrepreneuriale ayant une expérience professionnelle d’une vingtaine d’années, qui connaît aujourd’hui parfaitement les subtilités du monde de la création d’entreprise. Issu d’une formation commerciale, il exerce ce métier jusqu’à 2013 avant de se lancer pleinement dans sa passion. Avant de s’installer à Vern-sur-Seiche, Jean-Luc THOMAS possédait deux salles de fitness à Rennes, vendues au groupe Fitness Park en 2018. Upper Avenue est un trampoline Park géant (situé au sud de Rennes) proposant 13 activités différentes (parcours ninja, jump tower, foot, basket…) pour s’éclater tout en jumpant ! Que vous soyez débutant ou professionnel, grand ou petit ! Aujourd’hui, Upper Avenue Trampoline Park accueille en moyenne 1500 clients par semaine.Un riche moment de partage entre Jean-Luc THOMAS et nos étudiants…
Jean-Luc THOMAS a donc pu faire part de son expérience à nos étudiants. En nous dévoilant ses pratiques et conseils pour mener à bien un projet de cette ampleur, il a su capter l’attention de sa jeune audience. Ce riche moment de partage a plu à tous et en particulier aux étudiants voulant se lancer dans la même aventure ! Ses précieux conseils et avertissements ont été largement entendus. L’entrepreneur a ensuite répondu aux questions de nos étudiants. Nos entrepreneurs de demain ont maintenant toutes les clés en main pour réussir leur projet professionnel !…Suivi d’une session trampoline pour nos AMOSciens !
Après la conférence, les étudiants ont pu profiter du parc pour pratiquer une activité de cohésion sportive.
Rédigé par Valentin POUPELIN, étudiant en 3e année du Programme Grande Ecole à AMOS Rennes.
AMOS Rennes : 1ère Masterclass sur l’entreprenariat dans le sport à Upper Avenue Trampoline Park
Le 7 Octobre dernier, nos AMOSciens rennais se sont rendus à Upper Avenue-Trampoline Park, situé à Vern-sur-Seiche, pour une Masterclass sur l’entrepreunariat dans le sport. Le fondateur de cette structure, Jean-Luc THOMAS nous a fait le plaisir d’ouvrir ses portes pour la matinée. Au programme, une conférence animée par Eric ALARD, directeur d’AMOS Rennes, suivi d’une session trampoline.
Tout d’abord, qu’est que « Upper Avenue Trampoline Park » ?
Jean-Luc THOMAS, entrepreneur rennais, a ouvert son Trampoline Park en août 2019. A l’origine de ce projet, un homme avec la fibre entrepreneuriale ayant une expérience professionnelle d’une vingtaine d’années, qui connaît aujourd’hui parfaitement les subtilités du monde de la création d’entreprise. Issu d’une formation commerciale, il exerce ce métier jusqu’à 2013 avant de se lancer pleinement dans sa passion. Avant de s’installer à Vern-sur-Seiche, Jean-Luc THOMAS possédait deux salles de fitness à Rennes, vendues au groupe Fitness Park en 2018. Upper Avenue est un trampoline Park géant (situé au sud de Rennes) proposant 13 activités différentes (parcours ninja, jump tower, foot, basket…) pour s’éclater tout en jumpant ! Que vous soyez débutant ou professionnel, grand ou petit ! Aujourd’hui, Upper Avenue Trampoline Park accueille en moyenne 1500 clients par semaine.Un riche moment de partage entre Jean-Luc THOMAS et nos étudiants…
Jean-Luc THOMAS a donc pu faire part de son expérience à nos étudiants. En nous dévoilant ses pratiques et conseils pour mener à bien un projet de cette ampleur, il a su capter l’attention de sa jeune audience. Ce riche moment de partage a plu à tous et en particulier aux étudiants voulant se lancer dans la même aventure ! Ses précieux conseils et avertissements ont été largement entendus. L’entrepreneur a ensuite répondu aux questions de nos étudiants. Nos entrepreneurs de demain ont maintenant toutes les clés en main pour réussir leur projet professionnel !…Suivi d’une session trampoline pour nos AMOSciens !
Après la conférence, les étudiants ont pu profiter du parc pour pratiquer une activité de cohésion sportive.
Rédigé par Valentin POUPELIN, étudiant en 3e année du Programme Grande Ecole à AMOS Rennes.
Louis Burton, parrain du campus AMOS Sport Business School Rennes
Alors que les premiers bateaux arrivent aux Sables-d’Olonne à quelques semaines du départ du Vendée Globe, Louis Burton, le skipper de l'IMOCA Bureau Vallée 2 poursuit ses derniers entraînements avant de prendre pour la troisième fois le départ de l'Everest des Mers. A 35 ans, le 7ème du dernier Tour du Monde en solitaire, sans escale et sans assistance il y a quatre ans, a l'honneur de devenir le parrain du tout jeune campus de Rennes d'AMOS Sport Business School. Avant, pendant et après la grande boucle, la centaine d'étudiants d'AMOS Rennes va pouvoir suivre le skipper Malouin, garder le contact et le supporter.
De gauche à droite : Stéphane Herbert (Directeur Adjoint AMOS Rennes) et Louis Burton, skipper de l'IMOCA Bureau Vallée 2 et nouveau parrain du Campus de Rennes.
Pour Stéphane Herbert, le Directeur Adjoint d'AMOS Rennes, ce parrainage est ressenti comme une grande fierté et une véritable évidence : "Avoir Louis Burton comme parrain cette année est un grand honneur pour AMOS Rennes. Lorsqu'on m'a demandé de trouver un parrain pour ce jeune campus, le projet Vendée Globe "Louis Burton Autour du Monde" m'est tout de suite apparu comme une évidence pour plusieurs raisons."
L'IMOCA Bureau Vallée 2 de Louis Burton est le bateau qui a remporté le Vendée Globe 2016/2017. Crédit photo : Stéphane Maillard.
La Bretagne, les valeurs, le partage et le projet entrepreneurial
"D'abord parce qu'on est en Bretagne, explique Stéphane Herbert, et qu'ayant le plus grand littoral français, je voulais trouver un parrain breton en lien avec la mer et le sport... Ensuite parce qu'un parrainage c'est aussi une histoire de valeurs et de partage. Le projet sportif, professionnel et pédagogique mené par Louis et son équipe correspond en beaucoup de points à la dynamique que l'on souhaite donner au campus de Rennes... Enfin parce que je suis depuis longtemps ces aventuriers de la course au large, poursuit Stéphane Herbert. Au-delà d'avoir un très grand respect pour ces marins, j'ai toujours été très intéressé par le projet entrepreneurial qu'il y autour. Un Vendée Globe embarque à son bord un marin, un bateau, une équipe, un partenaire principal (et beaucoup d'autres), un projet et donc une histoire. Il se construit en plusieurs années et intègre toutes les composantes et tous les métiers du Sport Business que nous souhaitons partager avec nos étudiants."Une vraie similitude de projet de vie
Car un cursus scolaire AMOS est aussi un projet de vie sur 3 à 5 ans, explique Stéphane Herbert : "Nous voulons donner à nos étudiants une formation qualitative et professionnalisante pour faire de sa passion un métier. Quoi de plus qualitatif et professionnalisant que de travailler avec ces pilotes de Formule 1 des mers pour l'épreuve sportive la plus longue au monde ?" Rappelant le record actuel du Vendée Globe, 74 jours, 3 heures, 35 minutes et 46 secondes, Stéphane Herbert conclut : "Le campus d'AMOS Rennes, incluant le staff, les intervenants et les étudiants est donc extrêmement fier de soutenir Louis Burton Autour du Monde !".
Faire de sa passion, son métier
Après des études en communication et de très fréquentes navigations avec ses amis ou en famille, Louis Burton a eu définitivement le déclic de la course au large en 2010 : "C'était ma première Route du Rhum en Class40. J'étais le benjamin de la course. A l'arrivée et après pas mal de péripéties, j'ai compris que c'était ça que je voulais faire. Alors je me suis accroché pour faire de ma passion, mon métier. Mais ce n'est pas simple tous les jours, les embûches sont fréquentes dans le milieu de la course au large, comme dans tous les sports de haut niveau d'ailleurs. Alors une école comme AMOS, c'est une très bonne chose. Son cursus très qualitatif associe professionnalisation et valeurs humaines, personnellement je suis en phase avec çà. Je souhaite une très belle année aux étudiants, j'espère que l'on pourra échanger très vite et après le Vendée Globe se rencontrer pour partager ensemble", conclut Louis Burton.Rédigé par Eric BENTOT, Responsable de la communication et des partenariats de l'écurie BE RACING.
Louis Burton, parrain du campus AMOS Sport Business School Rennes
Alors que les premiers bateaux arrivent aux Sables-d’Olonne à quelques semaines du départ du Vendée Globe, Louis Burton, le skipper de l'IMOCA Bureau Vallée 2 poursuit ses derniers entraînements avant de prendre pour la troisième fois le départ de l'Everest des Mers. A 35 ans, le 7ème du dernier Tour du Monde en solitaire, sans escale et sans assistance il y a quatre ans, a l'honneur de devenir le parrain du tout jeune campus de Rennes d'AMOS Sport Business School. Avant, pendant et après la grande boucle, la centaine d'étudiants d'AMOS Rennes va pouvoir suivre le skipper Malouin, garder le contact et le supporter.
De gauche à droite : Stéphane Herbert (Directeur Adjoint AMOS Rennes) et Louis Burton, skipper de l'IMOCA Bureau Vallée 2 et nouveau parrain du Campus de Rennes.
Pour Stéphane Herbert, le Directeur Adjoint d'AMOS Rennes, ce parrainage est ressenti comme une grande fierté et une véritable évidence : "Avoir Louis Burton comme parrain cette année est un grand honneur pour AMOS Rennes. Lorsqu'on m'a demandé de trouver un parrain pour ce jeune campus, le projet Vendée Globe "Louis Burton Autour du Monde" m'est tout de suite apparu comme une évidence pour plusieurs raisons."
L'IMOCA Bureau Vallée 2 de Louis Burton est le bateau qui a remporté le Vendée Globe 2016/2017. Crédit photo : Stéphane Maillard.
La Bretagne, les valeurs, le partage et le projet entrepreneurial
"D'abord parce qu'on est en Bretagne, explique Stéphane Herbert, et qu'ayant le plus grand littoral français, je voulais trouver un parrain breton en lien avec la mer et le sport... Ensuite parce qu'un parrainage c'est aussi une histoire de valeurs et de partage. Le projet sportif, professionnel et pédagogique mené par Louis et son équipe correspond en beaucoup de points à la dynamique que l'on souhaite donner au campus de Rennes... Enfin parce que je suis depuis longtemps ces aventuriers de la course au large, poursuit Stéphane Herbert. Au-delà d'avoir un très grand respect pour ces marins, j'ai toujours été très intéressé par le projet entrepreneurial qu'il y autour. Un Vendée Globe embarque à son bord un marin, un bateau, une équipe, un partenaire principal (et beaucoup d'autres), un projet et donc une histoire. Il se construit en plusieurs années et intègre toutes les composantes et tous les métiers du Sport Business que nous souhaitons partager avec nos étudiants."Une vraie similitude de projet de vie
Car un cursus scolaire AMOS est aussi un projet de vie sur 3 à 5 ans, explique Stéphane Herbert : "Nous voulons donner à nos étudiants une formation qualitative et professionnalisante pour faire de sa passion un métier. Quoi de plus qualitatif et professionnalisant que de travailler avec ces pilotes de Formule 1 des mers pour l'épreuve sportive la plus longue au monde ?" Rappelant le record actuel du Vendée Globe, 74 jours, 3 heures, 35 minutes et 46 secondes, Stéphane Herbert conclut : "Le campus d'AMOS Rennes, incluant le staff, les intervenants et les étudiants est donc extrêmement fier de soutenir Louis Burton Autour du Monde !".